« La ruralité est […], aujourd’hui, l’espace de tous les possibles » alors que les campagnes sont « les nouveaux territoires perdus de la République ». Telle est la thèse d’Anthony Cortes. En effet, « subir et accepter le déclassement que constituent la disparition des services publics, la désindustrialisation de certains bassins, et la misère rampante, ne sont plus les seules options possibles. […] La volonté de…
Nos campagnes ne veulent pas mourir
