La thèse centrale de Penser le social est que « la protection sociale doit être réinventée. Pour qu’elle ne soit pas synonyme d’assistance universelle, elle doit retrouver une logique professionnelle et reposer à nouveau sur [le] dialogue social ». Sans doute en raison du passé professionnel des auteurs (Michel Monier est ancien directeur général adjoint de l’Unédic, Hervé Chapron ancien directeur général…
Excès d’étatisme ou néolibéralisme ? N’a-t-on pas d’autre choix ?
